A la suite de l'audience qu'il a tenue le mardi 14 décembre 2010, le juge des référés a estimé qu'il n'avait pas été démontré que la société Eiffage TP aurait méconnu l'arrêté préfectoral du 10 août 2009.
Il a en outre estimé que les autres textes dont la violation avait été invoquée devant lui n'étaient pas applicables au litige.
Il a en conséquence décidé, le mercredi 22 décembre 2010, de rejeter la demande que l'association lui avait présentée.